• A propos

    A propos

     

    J'adore la photo. Depuis très longtemps quand, en 1965, mon père m'a offert un instamatic de Kodak et que j'ai été membre fondateur du Club photo de mon lycée. Que d'appareils photos sont passés entre mes mains depuis cette époque! Mais comme je ne suis ni collectionneur, ni accumulateur, quand je changeais d'appareil je donnais le précédent à quelqu'un. En août, j'ai cédé mon Nikon D200 à mon neveu lorsque j'ai acquis le D 610, mon appareil actuel. J'ai conservé quelques objectifs et, surtout, j'ai amélioré mon ordinateur.

    Il m'arrive de faire des photos qui me plaisent, je les partage alors avec vous en espérant qu'elles vous plaisent aussi. Mais j'aime regarder vos belles photos, en me disant :"Ah, si je pouvais les faire!" Ce n'est pas grave si vous ne pouvez pas visiter mon blog et d'y laisser un commentaire; moi-même, je ne laisse pas toujours de commentaire. Il n'est pas bon de laisser un commentaire par obligation de contrepartie. C'est même pour ça que j'ai supprimé les statistiques et autres compteurs. Nous ne nous connaissons qu'à travers nos blogs, mais les liens virtuels peuvent aussi être bien forts et des "amitiés" naître. 

    Merci à l'amie qui m'a redessiné mon blog.

     

    Ce blog porte le nom de mon village, Izolwè, sur le fleuve Ogôwè au Gabon, non loin de Lambaréné la ville qui a accueilli le Dr Albert Schweitzer en 1913.

    J'y suis né, j'y ai passé mes 11 premières années parce que j'allais à l'école là-bas, sur l'autre rive, dans l'école des missionnaires protestants. Puis, à partir des années collège, j'y venais pour les vacances.

    Mon grand père, le Pasteur Henri Ndjavé, a fondé ce village à 1915; un village où il n'y avait que lui et ses enfants puis petits et arrières-petits enfants. Quand il est mort en 1962, nous étions une centaine de descendants de cet homme qui habitions le village en permanence ou pour les vacances. Nous sommes maintenant plusieurs centaines de descendants, mais le village ne compte pas plus de 5 personnes permanents.

    Notre contrée vivait des activités de la Mission, mais depuis 1960, date de l'indépendance, les missionnaires sont repartis chez eux; leurs activités (scieries, menuiserie, fabrication de bateaux, école) sont progressivement mortes. Alors les jeunes sont partis chercher la survie dans les villes et grossir les rangs des chômeurs.

    Nous avons encore la chance de nous retrouver au cours de certains évènements familiaux, mais l'avenir ne semble pas très rose.

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    A NOTER

    Toutes les photographies présentées sur cet espace ne sont pas libres de droits et sont la propriété de « IzolwePhotosNews – Izolwe.com ».

    Mes photos sont indifféremment signées "Mbindo16", "IzolwePhotosNews", ou "P. Ndjavé".

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